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mon périple en nouvelle zélande

11 novembre 2008

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A l’heure qu’il est, un restaurant dans lequel j’avais déposé un CV en arrivant sur Auckland m’a rappelé. J’y suis allé la semaine dernière pour faire un test et ils m’ont pris.

Je commence demain. Ils vont me donner entre 30 et 40 heures par semaines d’après ce qui est écris sur mon contrat, je ne suis pas mécontent : d’autant plus que c’est un super restaurant. Ça fait 7 ou 8 ans qu’ils reçoivent le prix du restaurant néo-zélandais qui allie le mieux nourriture et vins. Ils ont de très bons chefs et d’excellents vins.

Ponsonby, le quartier des restaurants (dans lequel mon resto n'est pas):

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La marina d'Auckland:

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11 novembre 2008

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La même semaine que mes premiers services, j’ai aussi emménagé dans mon appartement.

Nous étions en tout et pour tout 10 :

Trois brésiliens, deux brésiliennes (sa parlais pas mal portugais mais ils faisaient des efforts. Et ils étaient tous très sympas), un saoudien (avec qui, malgré l’écart qu’il y a entre nos cultures, je m’entend très bien), une australienne, une allemande (qui parle couramment anglais) et un autre français arrivé le lendemain de mon emménagement. Il est pâtissier, il à 23 ans et il à vécut deux ans en Irlande. Résultat : il m’apprend à cuisiner et il me corrige quand je fais des fautes en anglais. C’est top.

 

J’ai donc quitté mon appartement après l’avoir habité trois semaines. En fait, comme je me suis rendu compte après avoir signé mon contrat qu’il fallait prévenir le loueur trois semaines avant mon départ que je comptais partir je trouvait ça trop contraignant : n’ayant alors fait aucun plan j’aurais pu décider de quitter la ville rapidement et être bloquer trois semaines dans la ville aurait pu m’embarrasser.

Mes trois semaines dans cet appart se sont plutôt bien passées. Je me suis bien entendu avec tout le monde (ce qui n’était pas toujours le cas pour tous les colocataires entre eux).

Je n’ai pas fait grand-chose pendant ces trois semaines.

J’ai travaillé en moyenne 20 heures par semaines (car manque de travail) et le reste du temps je restait à l’appart à étudier mon anglais (car j’ai pris de bonnes résolutions : je me suis acheté un livre de grammaire d’anglais ainsi qu’un roman que je met un temps fou à lire car je traduis tout ce que je ne comprend pas. Sa me prend beaucoup de temps, mais c’est super pour enrichir mon vocabulaire).

Quand je ne restait pas enfermé à cause du mauvais temps (ici c’est très aléatoire : il peut pleuvoir 5 minutes, faire grand soleil 5 minutes ect… c’est très chiant au bot d’un moment) je sortait me balader, seul ou avec quelques uns de mes flatmates.

 

Une petite balade avec yasser et hervé j'usqu'au mont eden qui domine toute la ville:

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11 novembre 2008

auckland (2)

J’ai trouvé un appartement dans le centre ville. J’ai partagé ma chambre avec un brésilien (j’écris au passé car à cette heure ci je l’ai déjà quitté et j’en recherche un autre).

Avant d’emménager, j’ai été me baigner dans des piscines chaudes à une heure au nord d’Auckland avec deux brésiliens (dont mon colocataire), un saoudien et un kiwi. Cette eau est naturellement chaude et provient du sous-sol. Il y avait différentes piscines avec des chaleurs différentes et pouvant aller jusqu’à 40 degrés (c’est trop). Ils doivent refroidir l’eau pour qu’on puisse se baigner.

Sur la route j’ai vu mes premiers paysages et j’ai commencé à rêver.

 

Le lendemain, j’ai imprimé mon CV en anglais et j’ai passé mon aprèm à faire le tour des restaurants du centre ville et à discuter avec le personnel et les patrons. Je croise les doigts.

J’ai appris que sa va bientôt être la bonne saison pour trouver du job dans la restauration car l’été arrive d’ici peut (même si maintenant je ne m’en suis pas rendu compte : il a fait un temps de chiotte presque tout le temps depuis mon arrivé) 

 

L’entreprise d’intérim m’a finalement rappelé pour me filer du travail : j’ai eu un premier rendez-vous. Le lendemain, ils m’ont convoqué pour un training (une formation). Ils m’ont montré comment porter trois assiettes, comment bien tenir un plateau ect... Ça peut paraître stupide mais se sont des gestes de base qu’il est important de savoir faire avant de commencer à travailler. J’ai par exemple foutu m’on plateau plein de verres d’eau en l’aire : Il valait mieux que sa arrive au training (même si je ne me fait pas d’illusions...: si je continue en tant que serveurs, je vais forcément renverser plateaux et assiettes).

Ils m’ont envoyé un mail en fin de semaine pour me donner mes services : lieux et horaires.

Mes premières expériences en tant que serveur n’ont pas été trop horribles. A vrai dire, c’est même le meilleur job que je n’ai jamais fait : je ne bosse que dans des restaurants et hôtels de « luxe ». Le cadre est donc sympa. En général, les managers ne mettent pas trop la pression : ils définissent bien ce qu’ils veulent (par exemple tous les serveurs doivent apporter la plats à la droite du client et débarrasser sur leur gauche, ou inversement suivant les établissements) mais ils ne sont pas agressifs et ne mettent pas trop la pression (quoi que…sa dépend). Mais je suis plutôt content de ce travail.

Le problème, c’est que sa reste de l’intérim ce qui veut dire que je ne sais pas combien d’heures je vais faire la semaine suivante. En plus de ça, en ce moment, c’est assez calme.

Le second avantage de ce job est qu’il est fréquent que l’on soit nourris lors de nos pauses :

Et on à la même chose que le client. Il arrive que je me régale. D’autres fois quand on ne sert que des canapés et boissons, il se peut que l’on ait rien…ou alors il faut quitter la salle quand il ne reste que quelques canapés sur le plateau et s'en mettre plein la bouche sur le retour en direction de la cuisine en croisant les droits pour que le manager ne nous voit pas ou ne vienne pas nous parler a se moment là.

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9 novembre 2008

auckland

Mon arrivé sur Auckland à été quelques peut mouvementée.

Les douaniers, aux lieux de me laisser sortir tranquillement de l’aéroport m’ont demandé de passer dans une grande salle ou ils procèdent à la fouille des baguages suspects.

Ils ont entièrement vidé les miens et après avoir étalé toutes mes affaires sur une grande table, ils ont passé un petit papier sur tout ce que je possédait. Ils l’ont ensuite testé dans une machine : sa sert à détecter des particules de drogue pour savoir si j’ai été en contact dernièrement avec une quelconque drogue.

Et ils auraient soit disant trouvés des résidus d’ecstasy dans ma trousse à pharmacie.

Après avoir passé mon sac aux rayons-x et s’être rendus compte que je n’avait rien (il ont quand même pris les adresses des personnes chez qui j’était à Hong Kong et en Australie), ils m’ont laissé partir.

Ayant atterris à huit heures du matin, je suis arrivé en fin d’aprèm à mon backpacker (auberge de jeunesse).

Le temps de m’installer je ne suis ressortis que quelques minutes dans mon quartier histoire de m’acheter un petit quelque chose à manger. Je me suis retrouvé dans une chambre de trois entre une japonaise et une coréenne : et oui, ici les chambres en auberge sont mix.

Je ne comprenait presque rien à ce que la japonaise me disait mais j’ai bien sympathisé avec la coréenne : elle à été très gentille avec moi. Malheureusement elle est partie pour le nord deux jours plus tard.

Mon auberge : elle est sympas car c’est la plus petite de la ville. Elle est plus accueillante que d’autres qui ont parfois des allures d’usines.(Mais le manager est un peu un connard).

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Mes premiers jours sur Auckland  n’ont pas été super facile. J’ai du m’occuper de formalités : ouvrir un compte en banque, acheter un portable, chercher un appart, chercher du job.

Maintenant, il ne me reste plus qu’à m’occuper de la dernière tache qui est aussi la plus difficile.

Je me suis rendu le deuxième jour dans une entreprise d’intérim spécialisée dans la restauration. Ils ont été sympas et m’ont donné un rendez-vous : résultat, j’ai trouvé ça tellement facile que j’ai cru que c’était dans la poche.

Mais je suis vite revenu à la réalité, quand, le lendemain, mon employeur m’a fait comprendre que c’était difficile de me donner quelque chose à cause de mon manque d’expérience et de mon pauvre niveau d’anglais. Il m’a quand même donné une offre d’emploie mais en tant que junior ce qui signifie qu’ils n’auront pas grand-chose à me donner : je dois donc continuer mes recherches.

Le 4eme jour, j’en avais ras le bol. Je n’avais pas encore pris le temps de me faire plaisir.

Je me suis donc pris une petite pause : J’ai été me balader en ville notamment du coté de la marina qui est immense.

En rentrant à l’auberge je croise sur la route deux filles qui me demandent l’heure dans un anglais qui ressemble au mien : se sont des françaises.

Ont discute 5 minutes et comme elles sont arrivées en même temps que moi et qu’elles sont un peu pommées elles aussi, on échange nos numéros.

Le soir, je les rejoins dans un bar. Elles ont fait la connaissance d’autres jeunes dans notre cas à leurs auberges. Il y a trois allemands, un malaisien et un autre français. On passe une super soirée dans ce pub irlandais. Le malaisien qui n’a pas l’habitude de boire et bourré après quelques bières : c’est marrant.

En nouvelle Zélande, les bars ferment super tôt. On se retrouve donc à la rue aux alentours d’une heure et demie. Comme personne ne veut s’en arrêter là, on va acheter quelques bouteilles de vins et on se rend à leur auberge qui est située en plein centre. On se met dans le salon où on fait la connaissance avec deux françaises et deux israéliens. Ces deux mecs ont l’habitude de voyager : ils rentrent de temps en temps en Israël ou ils bossent dure pendant un

certain temps. Quand ils ont mis assez d’argent de coté ils partent en voyage. Ils étaient à quelques jours de leur départ et s’étaient apparemment éclatés. Ils m’on filé quelques bonnes adresses (parmi lesquelles une plage, ou, en creusant dans le sable, on trouve de l’eau chaude).

Finalement je suis trop fatigué pour rentrer chez moi et je dors sur le canapé du salon. C’était ma première bonne soirée et sa m’a vraiment fait du bien.

Quelques petites photos histoire d'aérer:

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8 octobre 2008

Sydney(3)

Mes deux semaines en Australie ont vraiment été géniales : Je me sentait comme dans ma propre famille tant mon entourage était gentil avec moi.

J’ai à la fait pleins de choses, je n’ai pas vu le temps passer.

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6 octobre 2008

Sydney(2)

Kovit et Susan ont des amis d’origine asiatique qui n’habitent pas loin de chez eux et qui ont vraiment été top avec moi pendant mon (trop) court séjour sur Sydney. Ils s’appellent Jaff et Eliane. Jaff m’a emmené faire du squash un jour c’était bien sympas. Sinon ils m’ont invité deux fois à manger chez eux avec Kovit et Susan. Un soir, ils m’ont emmené à un concert rock et m’ont ensuite fait découvrir darling harbourg (dans la ville) de nuit. C’était super beau mais comme un con je n’ai pas pensé à prendre mon appareil photo. Bref, ils ont été géniaux.

Ils on des fils qui ont a peut près le même age que moi. Un soir je suis allé avec l’un d’eux voir un concert électro. C’était du très bon son (style Justice).

Voici une photo de Susan, Eliane et Melany sa fille (qui était venu chez nous une semaine en France il y a deux ans). Je n’ai pas penser à prendre une photo de Jaff .

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La maison de Kovit et Susan:

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5 octobre 2008

Sydney

Je suis arrivé à Sydney à 8H du matin heure locale et je n’ai presque pas dormis dans l’avion en venant. Je trouve rapidement Kovit, un très vieux pote de mon paternel (un vieux chinois) qui était venu me chercher.

On rejoint Susan (sa femme) qui fait office de chauffeur.

Sur le chemin de la maison, premiers vrais essais en anglais. Kovit qui est francophone joue le jeu (car consignes du paternel par mail avant le départ de kikounet) : Je suis fatigué mais j’essais de comprendre se qu’ils me disent. Ils sont indulgents, ils parlent lentement.

Je réponds brièvement car j’ai du mal à exprimer ce que je pense.

Arrivés chez eux Susy me prépare un thé, puis je vais manger dehors avec kovit. Des fois il triche un peu il me parle en français. L’aprèm, je reste cool à la maison, je me regarde mon premier film en anglais (sous-titré anglais : c’est plus facile pour débuter).

Et voici tonton kovit ainsi qu'une photo floue (mais c'est la seule que j'ai) avec susan:

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Les trois jours suivant j’ai bosser avec lui histoire de lui filler un coup de main. Il est paysagiste : mon job consiste à pendre toutes les saletés qui trainnent dans le jardin et à les mettre dans un sac. Je tond aussi de temps en temps, je taille quelques fois, sinon je fait en sorte que se soit le plus propre possible. Et quand le camion est plein, direction la déchèterie. Bref je m’amuse bien. Il a été sympa il m’a filé de l’argent alors que je n’avais pas fait grand-chose.

Je n’ai pas trop pris le temps de faire des photos comme je bossait mais j’aurais du le prendre certaines fois car j’ai vu de très beaux jardins.

Les premiers jours, je n’ai pas fait beaucoup de choses. J’ai vagué à droite et à gauche : chez des amis de Jasper, le fils de Kovit et Susan qui a mon age, au restaurants avec leurs amis.

On à été visiter Sydney de nuit. Magnifique.

J’ai aussi bossé une aprèm avec Jasper : on à déménagé des meubles pendant deux heures : pas super excitant mais Good money.

J’ai aussi fait office de barman dans une soirée privée chez une de leurs amies.

Mes premières photos d’Australie :

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5 octobre 2008

Dernier jour sur Hong Kong

Le jour de mon départ, comme je me suis levé tard, je n’ai pas eu le temps de faire grand-chose et je n’ai pas non plus eu l’envie vue que j’était à droite et à gauche durant les jours précédant.

Je me suis donc levé, quand, en vain, je m’épuisait à tenter de me rendormir afin d’éviter le moindre effort (et en premier lieux celui consistant à me bouger de ce lit si confortable).

Comme mon avion décollait à 21h30 j’avais encore le temps avant de commencer à faire ma valise, ce qui me prendrait quand meme en tout et pour tout 2h (avec petites pauses, il ne faut pas exagérer) tant j’avais réussit à m’éparpiller dans une chambre qui n’avait pourtant pas des dimensions gigantesques.

 

Je prend donc une petite douche et attrape le minibus au bas de la rue qui m’emmène au stanley market qui est le marché le plus proche.

Je n’y suis pas resté longtemps. Il y avait pas mal de contrefaçons et rien de bien intéressant.

Je sors et non loin d’ici je trouve un petit restaurant qui m’a l’aire sympathique. Il n’y a que des hongkongais dedans et toutes les cartes sont écrites en chinois. Je montre à la serveuse un plat de noddles qui me plait sur la table du voisin. Elle me l’apporte deux minutes plus tard. C’est plutot bon meme si sa n’est pas d’une finesse absolue. Et ça a l’avantage d’etre très peu couteux pour les petits budgets : 1$90 bouteille d’eau incluse pour cette fois.

 

Et pour clore la page Hong Kong, quelques photos de l’appart dans lequel j’était pendant ces quelques jours. Je me fait pas chier :

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25 septembre 2008

Avant dernier jour sur Hong Kong (3)

Je me décide à déjeuner en passant devant un minuscule restaurant chinois ou il n’y a que des locaux. Je m’assoie a une petite table et la patrone viens me demander ce que je désire manger dans un anglais très sommaire. Heureusement, le client a coté de moi, qui est en train de lire son journal en sirotant un breuvage que je ne connaissait pas (couleur coca dilué avec de l’eau : peut etre un thé ?), nous sert d’intermédiaire.

Au final je comprends simplement qu’il y a du « chicken » dans mon plat. Celui-ci est servis une minute plus tard : c’est impressionnant de voir avec quelle rapidité on est servis ici quel que soit le restaurant.

Comme il n’y à que deux ou trois tables et qu’elles sont toutes prises, un papi vient s’assoire en face de moi. Une petite moustache pas plus large que son nez et une coupe de cheveux avec frange et mèche sur le coté me rappellent vaguement celui qui fut certainement le plus grand dictateur de tous les temps. Mais mon papi m’a l’aire bien sympathique : il sort de sa poche une petite bouteille d’alcool fort, certainement du whisky ou du rhum brun et s’en verse une bonne moitié de verre. Il le coupe alors avec un autre breuvage que je ne connaissais pas : Peut-etre de l‘eau très sale (sa m’étonne) ou un thé froid.

Je finis mon plat qui m’a foie pour son prix et tout à fait correcte (j’ai mangé pour 20$HK = moins de 2euros). J’ai demande ensuite à mon voisin anglophone de faire l’intermédiaire entre papi et moi-meme : Je veux le prendre en photos. Il accepte,je suis ravi.

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Aujourd’hui, c’est dimanche le jour ou toutes les « maids » (se sont les servantes des hong-kongais, la quasi-totalité de ces femmes étant des philippines) ont leur jour de repos.

La plupart de ces femmes sont très peu payées et vivent dans des conditions déplorables : certaines d’entre elles auraient en guise de chambre un placard à ballais.

Chez mes français, la « maid » s’appelle Amalia. Elle est plutot simpas, discrète et elle fait bien a cuisine. Elle à l’aire de bien s’entendre avec leur fils. Mais elle fait parti de celles qui ont le plus de chances :Elle ne bosse pas comme un esclave, elle à sa propre chambre et propre salle de bains. Mais surtout, elle à l’occasion de rentrer régulièrement aux philippines pour voir son enfant qui y est resté.

Bref le dimanche, les philippines qui n’ont évidemment pas d’autre toit que chez leurs employeurs (ou pourrait-on dire maitre) se retrouvent de partout dans les rues de la ville. Il y a des coins privilégiés comme le dessous de la tour HSBC qui est l’une des plus imposantes de Hong Kong : Elle est totalement ouverte au rez de chaussée ce qui permet de la contempler de l’intérieur.

On retrouve ces philippines à travers tout Hong Kong et c’est en se promenant un peut que l’on se rend compte de l’ampleur de la chose : Elles sont des milliers.

Je prends ensuite le métro en direction de causeway bay qui est le quartier on l’on trouve presque tout ce que l’on désire acheter me dit-on.

Je prends la bouche de sortie qui me fait directement atterrir dans un des centres commerciaux les plus somptueux que je n’ai jamais vus. Il est immense et il y a du marbre de partout . Mais ce n’est pas une extravagance ici : on en trouve à chaque coin de rue, dans n’importe quel magasin, dans le métro, dans la plupart des immeubles…

Come estime à plus de cent le nombre de shopping center dans Hong Kong :c’est impressionnant mais sa ne me choque pas quand je vois à quel point les locaux sont portée sur la consommation.

Et attention, l’apparence à une importance primordiale :on trouve ici des boutiques de luxes dans n’importe quel quartier de la ville(du moins tous ceux que j’ai visité) et elles ne sont pas de moindre taille.

La veille Come me montre en passant devant une des trois ou quatre boutiques Yves St Laurent le nombre de clients qui s’entassent à l’intérieur et me dit : « ici c’est comme Zara en France » Et il me le confirme : il y a ici autant de personne au mettre carré qui sortent de boutiques avec des sacs du grand couturier français que de sacs Zara rue de la république un samedi après midi à Lyon.  

Dans la rue, je ne sais pas si on peu retrouver beaucoup d’autres lieux avec une telle concentration de voitures de luxe (peut-etre Doubai ou Singapour tout au plus).

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Je sort rapidement de cette endroits car on en a vite fait le tour. Juste à coté je débouche sur une petite rue encombrée par un marché : la rue qui lui est parallèle est certainement trois ou quatre fois plus large on n’y trouve pas d’autres boutiques que de luxe.

Ce contraste est amusant. DSCN0574












Je me dirige ensuite vers le nord de la ville. Je traverse le parc victoria qui est aussi un des lieux ou se retrouvent les philippines.

Je passe ensuite de l’autres coté de l’autoroute et je longe le port puis le quai sur plusieurs km.

Je rentre à nouveau dans le centre de la ville et je vais prendre un bus : je suis claqué.

Je suis à peine arrivé à l’appartement que l’on me propose de sortir sur la page : ce soir c’est la fete des lanternes : tant pis pour la sieste, j’accepte. Je prends une douche et on part rejoindre Antoinette et Ludovic sur la plage avec Come qui m’a attendu.

On va se chercher une bière au 7eleven et on s’assoit sur la plage.

Pour la fete des lanternes comme sont nom l’indique les gens sortent de chez eux avec pleins de lumières.

Sur la plage il y avait un mélange d’expatriés (car nous sommes dans un quartier bourré d’occidentaux) et de locaux qui avaient l’aire de prendre ce moment plus au sérieux

(bien que se soit resté très bon enfant).
On a discutés un bon moments avec Come; c'était une bonne soirée.

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24 septembre 2008

Avant dernier jour sur Hong Kong (2)

Et voici le seven eleven (la petit casino asiatique) qui est l’enseigne la plus connue d’Asie et peut etre meme du pacifique. A Hong Kong on en trouve à chaque coin de rue.

On peut y acheter des boissons en tous genres et de a nourriture.

Lors de la fin des cours si on se trouve près d’une école, il se peut qu’on se retrouve envahi par une horde d’enfant en tenu d’écolier (ici les uniformes sont de rigueur) venant acheter boissons et confiseries en tous genre avant de rentrer chez eux.

Ces shops qui sont à la base ouvert de 7h du matin à 11h du soir de ferme en fait, pour la plupart, pas de la nuit. D'autres ferment pour trois ou quatre heures en pleins milieu de la nuit mais pas plus.

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Ensuite, direction Soho situé au sud de central. C’est le quartier de tous les restaurants. Je me promène un peu puis je redescend sur central (car il faut monter pour atteindre soho ) en passant par des petites rue ou des marchands de fleures et de poissons en tous genres. Un papi s’est endormi devant son étale de fruits en attendant le client.

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